En natation

Dans le but de faire des économies, j'ai fait l'erreur, lors de mes premières compétitions, d'investir dans une combinaison de planche à voile bon marché. En effet, j'hésitais à investir dans une combinaison très technique et très onéreuse, sans savoir si le triathlon me plairait. J'aurais dû m'en faire préter une, ou investir dans de l'occasion !

Depuis, j'ai corrigé cette erreur, et je nage en Aquaman Bionic Femme. C'est une combinaison milieu de gamme que j'ai acquise il y a maintenant 5 ans. Vu mon niveau déplorable en natation, elle ne fait pas de moi une torpille, mais j'attends d'elle qu'elle soit confortable, qu'elle n'épuise pas les bras, et qu'elle ne soit pas trop compliquée à enlever. C'est un bon compromis, ce n'est pas du haut de gamme, je verrai si je réinvestis, d'autant que malgré mes soins elle commence à avoir quelques accrocs. Chose importante, là j'ai vraiment opté pour un modèle "femme" (chose que je ne fais pas pour d'autre matériel quand ce n'est pas spécifique) vu la morphologie, je ne pense pas que l'on puisse faire autrement !

Pour le reste à l'entrainement, pour les maillots de bain je suis fidèle à Speedo depuis bien longtemps, car j'apprécie beaucoup la durée de vie de leurs modèles, malmenés par le chlore. Ayant comparé avec d'autres marques, à moins que ces dernières aient progressé, j'ai toujours trouvé les Speedo plus solides. J'apprécie leurs modèles donc je ne cherche pas plus loin.
Pour les lunettes, cela fait des années que je tourne avec des "suédoises" de la marque Speedo également. Je ne supporte rien d'autre, à part peut-être les Aquasphere (j'en ai eu il y a longtemps). Les aquasphères ont le mérite d'offrir une qualité de vision inégalable, mais je suis repassée aux suédoises car les Aquasphere ont très rapidement eu des problèmes d'étanchéité.
En plus comme j'ai la peau "qui marque" les suédoises marquent sur un périmètre plus restreint que les Aquasphere qui laissent des yeux de panda !

En vélo

Là, c'est mon poste de dépense le plus important. Et c'est logique.
D'autant que j'adore le vélo.
Depuis que j'ai attaqué le triathlon, j'en suis à mon 4e vélo, et c'est mon premier CLM !!!

J'ai longtemps hésité avant d'investir dans un vélo de contre la montre : n'est-ce pas un peu trop "tape à l'oeil" ? Est-ce que j'ai le niveau pour assumer un tel vélo ? Est-ce que je vais aimer ? En plus il me faudra un 2e vélo dans le garage.
Déjà en 2009, lorsque j'ai acheté le Kuota Kebel, le vélo de contre la montre me faisait envie, mais je n'avais pas osé sauter le pas.
Et puis ... le projet d'Ironman a fini de me convaincre. On ne vit qu'une seule fois, alors si un tel vélo me fait envie, eh bien je me lance !

Selon mes critères, j'ai privilégié certains modèles, mon choix était presque fait jusqu'à ce que ... je découvre l'un des modèles phares de chez Kestrel ; le 4000 PRO. Et là, je craque littéralement sur son look : racé mais pas trop tape à l'oeil, j'adore le hauban arrière, le décroché derrière la selle qui le rend pas trop massif, bref j'accroche ! En plus je profite d'une opporunité immanquable qui finit de me convaincre : je ferai mon premier IM sur un Kestrel 4000 PRO !
Donc voilà, en 2012 je roule pour la première fois sur un vélo de contre la montre, je ne regrette pas mon choix. Pour l'instant je n'ai roulé qu'à l'entrainement avec, mais j'avoue que l'adaptation s'est faite très vite. J'avais entendu dire que les vélo de tri ou CLM étaient des "bouts de bois" mais je ne ressens pas du tout cette impression. Certes, il est moins vif en côte qu'un Kebel, mais il est agréable à rouler.

En savoir plus sur Kestrel (en construction)

Mes vélos, anciens et actuels (en construction)

En course à pieds

Parlons surtout "chaussures". Pour le reste, ça dépend des saisons.
Adepte depuis des années de la même marque : "ASICS". Pas un phénomène de mode ni un phénomène de look, mais parce qu'après chaque essayage en magasin spécialisé, ce sont les modèles qui me conviennent le mieux.

Donc, je ne cherche plus vraiment. Parfois je re-teste d'autres marques, mais j'en reviens à ASICS. Je cherche l'amorti et le confort, et en ASICS je n'ai jamais eu de souci ou de blessure.

Coté textile : je suis moins fidèle à une marque. En hiver, textiles club en vélo, mi-saison corsaire, été brassière et cycliste court. Et voilà !